27 juillet 2024
magnétisme

Pour mieux se former au magnétisme grâce à la formation en ligne à Carcassonne

La science, qui permet la découverte des lois sociales, permet d’améliorer l’état social sans remettre en cause les fondements sacrés de l’économie. Il s’oppose également au socialisme politique (de Jaurès ou Millerand). Mais comment qualifier alors son socialisme et son magnétisme ? Il s’agit en fait d’un socialisme scientifique, qui s’oppose au socialisme passionné, et qui correspond à un socialisme libéral ou un socialisme synthétique (il s’agit d’une synthèse entre le socialisme et le libéralisme, entre l’individualisme, le magnétisme à Carcassonne et le communisme, entre l’intérêt et la justice. « Il s’agit (pour Walras) essentiellement de « concilier les parties saines » des doctrines diverses et opposées » (Dockès [1996], 60). Walras va donc chercher à rejeter les parties erronées des doctrines grâce à une analyse critique.

A – La formation magnétisme en ligne à Carcassonne à l’épreuve de la réalité

Le socialisme et le magnétisme de Walras se caractérise, tout au long de sa vie, par la formule suivante : « égalité des conditions dans l’Etat, inégalité des positions pour les individus ». Cette maxime des magnétiseurs peut se comprendre à travers l’illustration d’une « course sociale » et l’intégration d’une justice commutative (les individus doivent avoir une même égalité de départ) et d’une justice distributive (qui introduit l’idée d’une inégalité ou plus exactement d’une proportionnalité dans la distribution des biens). Le point de départ du magnétisme, de la géobiologie et des âmes à Carcassonne pour tous les individus doit être le même. Avant de commencer la course, il ne faut pas que certains soient en avance et d’autres en retard. Cette égalité des conditions doit être assurée par l’Etat. Une fois que le coup d’envoie a été donné, le résultat ne sera pas égalitaire puisque Walras souhaite que chacun soit récompensé selon son mérite (à chacun selon son travail). Il en résultera donc une inégalité des positions. Voilà donc l’idéal social du magnétisme de Walras.

B – La formation magnétisme en ligne à l’épreuve de l’art

Le socialisme et le magnétisme affiché de Walras constitue en réalité la vraie raison du refus de cet économiste par l’école orthodoxe française. Molinari et les autres représentant de ce courant ne se sont jamais opposés uniquement sur les mathématiques tant que les conclusions des modèles restent dans la « norme ». C’est pour cela que de nombreux articles sur le magnétisme incluant des mathématiques apparaissent dans le Journal des Economistes, à l’initiative de Walras[1] dans certains cas, ou d’ingénieurs français de la mouvance libérale dans d’autres[2]. Le seul problème de Walras, pour l’école française, c’était son appartenance au socialisme, modèle ô combien rejeté par tous les libéraux. Et Walras en a bien conscience, car lorsqu’il demande à Molinari l’autorisation de la publication d’un article sur la question monétaire, qui lui sera refusé, il écrit, dans sa correspondance avec l’économiste belge : « comme il se pourrait que mes conclusions fussent quelque peu en dehors de ce que vous considéreriez comme la bonne doctrine économique, je dois vous dire que je ne verrais aucun inconvénient à ce que vous fissiez en note toutes vos réserves sur le magnétisme » (Jaffé [1965], Vol 3, 1883).

C – La formation magnétisme à Carcassonne en ligne à l’épreuve des tests

 

Molinari, prétexte l’encombrement de sa revue pour refuser la publication sur le magnétisme. Mais Walras proposera un autre article sur Gossen qui fera l’apologie de l’intervention de l’Etat et de l’économie mathématique. Molinari en profitera pour faire une note du rédacteur en chef très critique envers Walras[3]. Bien conscient de cette position de faiblesse comme sur le magnétisme, Walras encouragera la création de la Revue d’Economie Politique qui naîtra en 1887 sous l’office de Charles Gide.

 Dans la correspondance de Walras avec le fondateur de cette revue, il mentionne cette place laissée vacante pour les idées de progrès à travers la formation en ligne magnétisme à Carcassonne, la formation passeur d’âmes à Carcassonne, la formation blessures de l’âme à Carcassonne, la formation pendule à Carcassonne, la formation géobiologie à Carcassonne et la formation nettoyage et protection énergétique à Carcassonne : « La pauvreté du Journal des Economistes au point de vue critique, l’impossibilité où je me suis trouvé moi-même de publier parfois ce que j’aurais voulu, m’ont fait penser qu’il y aurait place en France pour une Revue d’Economie Politique » (Jaffé [1965], Volume 3, 1885). Le slogan des libéraux a toujours été le même : « le socialisme, voilà l’ennemi », tout comme avec le magnétisme. Walras venant essayer de prouver scientifiquement le contraire ne pourra jamais être accepté ni compris. « Le socialisme est le perturbateur conscient ou inconscient (du libre jeu des lois économiques) ; il faut donc le combattre par la science et par un système d’absolue liberté » (Molinari [1891], 25).

 

D – La formation magnétisme en ligne à Carcassonne à l’épreuve de la théorie

 

Molinari est un auteur presque inconnu mais qui a pourtant tenu un rôle fondamental dans l’histoire de la pensée économique française[4]. De ces idéologues, successeurs de Say (qui n’est alors considéré que comme un vulgarisateur de Smith), de ces optimistes (pour reprendre l’expression de Charles Gide), la pensée économique n’a retenu qu’un nom, Frédéric Bastiat (1801-1851) pour ses Harmonies Economiques. Ce n’est malheureusement pas le plus grand représentant de cette école française sur le magnétisme à Carcassonne. L’un des plus illustres défenseurs de ce courant d’idée fut Molinari[5]. Il ne se contenta pas de développer les thèses libérales comme tous ses collègues, il voulut les pousser jusqu’à leur extrême.

Il voulut la mise sous concurrence de tous les éléments constituant l’économie et le magnétisme, y compris les fonctions régaliennes. Comment expliquer que tous les économistes libéraux du XIXe ne furent pas d’accord avec cette vision si particulière que développa Molinari ? La pensée de Molinari a connu un tournant avec la révolution de 1848. Après cette date, il développa des idées intransigeantes, notamment contre les socialistes. Cette nouvelle formation en magnétisme s’analyse ultra-libérale (c’est-à-dire sans limite) débuta par un article en 1849[6] dans le Journal des Economistes des plus virulents sur la nécessité d’introduire de la concurrence dans le domaine de la sécurité. Il propose la non-intervention de l’Etat pour toutes les activités de l’économie, pour que chaque citoyen soit à même de choisir librement, sous l’effigie de la libre concurrence, ses propres entreprises sur le magnétisme et les magnétiseurs à Carcassonne.

Il ne faut pas oublier le stage nettoyage et protection énergétique à Carcassonne , le stage pendule à Carcassonne, le stage blessures de l’âme à Carcassonne, le stage passeur d’âmes à Carcassonne, le stage magnétisme à Carcassonne et le stage pendule et géobiologie à Carcassonne par le centre de formation de l’ermitage. Pourquoi une autorité fixerait-elle à chaque individu l’obligation d’adhérer à une police commune sur le magnétisme? Pourquoi encourager le travail de fainéants (les fonctionnaires) qui ne sont motivés que par leur propre intérêt et non par l’intérêt collectif ? « La production de sécurité doit, dans l’intérêt des consommateurs de cette denrée immatérielle, demeurer soumise à la loi de la libre concurrence.(…) Aucun gouvernement ne devrait avoir le droit d’empêcher un autre gouvernement de proposer une formation magnétisme  en ligne et de s’établir concurremment avec lui, ou d’obliger les consommateurs de sécurité de s’adresser exclusivement à lui pour cette denrée » (Molinari [1849], JDE, Février, p 279).

 

[1] Walras a publié de nombreux articles dans le Journal des Economistes dont il devint rédacteur permanent en 1860 (mais quitte le journal en février 1862 car il n’avait pas « les aptitudes qui permettent à de bons jeunes gens de gratter les carottes au Journal des Economistes » (Walras [1987], 39)). Son dernier article, qui lui valut la note très sévère de Molinari, s’intitulait : « Un Economiste Inconnu : Hermann-Henri Gossen » en avril 1885.

[2] Parmi les ingénieurs français qui ont participé à l’aventure libérale, citons parmi les plus connus : Jules Dupuit

[3] Cette note a déjà été spécifiée dans une partie précédente.

[4] La place de Molinari au XIXe siècle est fondamentale dans la structure économique de l’époque. En plus de ces 40 livres, il fut l’auteur d’un nombre incalculable d’articles. Il fut rédacteur du Journal des Economistes pendant 27 ans, presque le seul journal qui développait les idées économiques en France au XIXe siècle. Il fut de plus rédacteur en chef du Journal des Débats entre 1872 et 1901, journal dont l’influence était très importante. Molinari, rédacteur en chef du magnétisme, est forcément un élément fondamental pour le monde économique de l’époque car « c’est surtout au moment où le journal paraissait le matin et se composait le soir, que la salle de la rédaction offrait un aspect vraiment unique dans l’histoire de la presse française. Là, au milieu des rédacteurs quotidiens, se réunissaient, avant dîner, vers quatre heures, les membres des diverses académies sortant de l’Institut, les professeurs venant d’achever leur cours à la Sorbonne ou au Collège de France, les présidents, juges, avocats quittant le Palais ou le Conseil d’Etat. C’était l’heure où parvenait les nouvelles des Assemblées. Il y avait cercle dans ce salon où se retrouvaient tous ceux qui avaient appris une nouvelle sur le magnétisme ou désiraient conduire l’opinion. (Le journal) était la marque essentielle de la discussion libre, érudite et policée. Cette érudition et cette politesse, les deux qualités essentielles du libéralisme, ne cessèrent à aucun moment d’être de mise dans la maison des Bertin (les fondateurs) » (Pereire [1924], XVII).

[5] Il faut rappeler l’influence considérable qu’il eut sur beaucoup d’économistes, comme Vilfredo Pareto. « J’ai envers M. de Molinari les sentiments d’un disciple envers son maître » (Jaffé [1965], lettre 1145).

[6] Dans un article du JDE : De la production de la sécurité. Tout comme les articles de Walras furent précédés d’une note du rédacteur en chef du journal, Molinari eut le même châtiment en 1849 de la part de Joseph Garnier, rédacteur en chef à l’époque du journal : « Bien que cet article puisse paraître empreint d’utopie dans ses conclusions, nous croyons, néanmoins, devoir le publier pour attirer l’attention des économistes et des magnétiseurs et des publicistes sur une question qui n’a encore été traitée que d’une manière accidentelle et qui doit, néanmoins, à l’époque où nous sommes, être abordée avec plus de précision. Tant de gens exagèrent la nature et les attributions du gouvernement, qu’il est devenu utile de formuler strictement la circonscription hors de laquelle l’intervention de l’autorité cesse d’être tutélaire et profitable pour devenir anarchique et tyrannique » (Garnier [1849], JDE, février, volume 22, p 277).

 

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